István Turczi (1957) est poète, écrivain, traducteur, éditeur, professeur d’université, personnage de la littérature hongroise, fondateur et rédacteur en chef de la révue poétique Parnasszus.
Secrétaire général du PEN Club hongrois
Section de poésie de l’Association des écrivains hongrois – Président réélu à plusieurs reprises
Troisième vice-président de Congrès mondial des poètes
Membre de l’Académie européenne de poésie (Academy of European Poetry, Luxembourg)
Membre de l’Académie de littérature Bjornson
Prix et honneurs : Grand Prix international de poésie de Varsovie, 2004
Ordre du mérite de la République de Hongrie , 2004
Prix József Attila, 2006
Professeur d’honneur de l’Académie mondiale des arts et de la culture,2008
Lauréat du Prix littéraire de la République de Hongrie, 2010
Grand Prix de poésie Eminescu, Roumanie, 2013
Prix de l’Association des écrivains moldaves, 2014
Citoyen d’honneur de ville de Tata, 2014
Citoyen d’honneur de Zugló, 2014
Prix Prima primissima, 2014
Ses livres publiés en hongrois:
Poésie :
Segédmúzsák fekete lakkcipőben (1985)
Zene állástalan zongoristáknak (1990)
A nők és a költészet (1991)
Amerikai akció (1991)
Uram, nevezze meg a segédeit! (1993)
Hosszú versek éjszakája (1997)
Csokonai Vitéz Műhely (1999)
Deodatus (2001)
Venus Vulgivaga (2002)
Sms 66 kortárs költőnek (2002)
Hívásra szól a csönd (2004)
Legszebb versei (Székely Magda vál., 2006.)
Áthalások (2007)
Erotikon – Eifert János aktfotóival (2008)
Ezt a nőt nagyon – hangoskönyv (2008)
Minden ablak nyitva – válogatott versfordítások (2009)
A változás memóriája (2011)
Turczi István legszebb versei (2014)
A fázisrajzoló átmeneti gyötrelmei (2016)
Üresség (2017)
Szeresd a vándort (2018)
Romans:
Mennyei egyetem (1987, 2002, 2013)
…se nélküled (1994)
A többi csak kaland volt (2005)
Minden kezdet (2013)
Pièces théâtrales et radiophoniques:
Neander Kávéház (1989)
Hangdokumentumok –1956 (1989)
A katona története (1990)
Jer és lásd! – A Talmud könyvei (1991)
Revü (Dominó Színpad, 1991)
Anna-bál (Nagyváradi Szigligeti Színház, 1995)
A tintalovag (Petőfi Irodalmi Múzeum, 1996)
Quelle sorte d’édifice est la catharsis
Mon fils m’a demandé quelle sorte d’édifice
était la catharsis et où se trouvait-elle, sur quelle montagne.
Il m’a demandé de lui montrer une image aussi,
c’est quand même plus facile de concevoir ce qui
est visible, ce qui se trouve là et non pas ailleurs,
il n’a peut-être pas de place, on n’ose même pas y penser.
Il faut un lieu, pas tout près, loin non plus,
qui est sans ombre, qui ne branle et ne luit pas,
qui existe et qui veille sur lui-même.
Qui offre une belle vue – vers l’intérieur.